En s’appuyant sur l’expérience française en matière de financements innovants – comme la taxe sur les billets d’avion ou la taxe sur les transactions financières – cette proposition permettrait de générer 82 millions d’euros par an. Affectées à la lutte contre la malnutrition, ces ressources pourraient permettre de sauver jusqu’à 2 millions d’enfants chaque année.
Une mesure concrète, à fort impact, porteuse d’un message clair.
Nous appelons le gouvernement et les parlementaires à s’emparer de cette proposition ambitieuse, en cohérence avec les engagements du Sommet Nutrition for Growth, accueilli à Paris en mars 2025.